New York au moins d'Août 2022. La population de la mégalopole compte 40 millions d'habitants et souffre de surpopulation et de pollution.
Le détective Thorn enquête sur la mort de William Simonson, un avocat et politicien tué avec un pied de biche, dirigeant de la compagnie " Soylent Green ". Cette multinationale fournit la nourriture à une population aisée, seule à pouvoir acheter de quoi subsister. Ainsi, les riches se nourissent de tablettes à base de plancton et appelées " Soleil jaune ", " Soleil rouge " et " Soleil vert ".
Thorn est un policier privilégié qui travaille pour le 14ème commissariat. Il partage un minuscule appartement délabré avec Sol Roth, un vieillard ex-bibliothécaire. A mesure que Thorn avance dans son enquête, il se rend compte que le meurtre de l'avocat implique directement le Gouverneur. Sous les pressions de ce dernier, Hatcher, le chef de Thorn, lui enlève l'enquête des mains et déçide de classer le meurtre en crime crapuleux.
Peu après, alors que les rationnements de Soleil vert sont de moins en moins bien acceptés par la population, Thorn échappe de justesse à un assassinat au cours d'une émeute où la foule est maîtrisée par la police à l'aide de camions-benne. Intimement persuadé que l'enquête est loin d'être terminée, Thorn déçide de chercher la vérité aidé par son ami le vieux érudit Sol Roth.
Malheureusement trop vieux, fatigué de la vie et impotent, le vieillard sera conduit dans le "foyer", un centre d'euthanasie où l'on aide les gens à mourir dans la dignité en leur faisant visionner des images d'animaux, de forêts et de paysages idylliques. Thorn tente une dernière fois de l'en dissuader mais sans réussite... Le corps du vieillard disparaît dans un corridor.
Soupçonneux, Thorn décide de suivre discrètement le chemin pris par le corps du vieillard. Il va alors découvrir l'atroce vérité, la Soylent Company se cache derrière le foyer, il y a bien longtemps qu'il n'y a plus de plancton dans les mers et le Soleil vert est fabriqué à partir de cadavres humains…
POINTS POSITIFS ET NEGATIFS
+ La scène de l'émeute du marché
+ Charlton Heston/Edward G. Robinson
+ Les images projetées dans le centre d'euthanasie
- Assez daté années 70
L'avenir pessimiste
Soleil Vert est un film au rythme lancinant à l'ambiance morbide. Si l'intérêt de l'intrigue, menée comme une enquête policière classique, et la découverte finale de la vérité, qui était prévisible, semblent bien minces pour apprécier Soleil Vert, l'intérêt du film provient surtout de sa description d'un univers futuriste pessimiste et souvent oppressant. Richard Fleischer, en vieux roublard d'Hollywood, ne nous montre pas d'effets spectaculaires mais le tableau d'une ville, d'une civilisation, d'une planète en voie d'extinction.
Conformément à l'esprit de Metropolis de Fritz Lang, les riches sont les privilégiés, habitant dans de grands immeubles et ne sortant que trés rarement, alors que la majeure partie de la population, pauvre et désœuvrée, grouille dans des taudis au niveau de la rue. La nourriture devenant rare, elle est substituée à une nourriture synthétique, la végétation a presque totalement disparue et le dernier arbre et jalousement conservé sous une bulle de verre. Même les livres sont devenus rares. Contrastant constamment, le réalisateur nous livre la vision de ce monde selon deux personnages : Thorn, le détective obstiné et Sol, le vieillard désabusé. Le vieux a connu le monde tel qu'il était avant, les livres et le plaisir de cuisiner un ragoût de bœuf. L'autre ne connait que le Soleil Vert.
Alternant scènes-chocs (l'émeute de rue pendant la distribution du Soleil Vert, la course-poursuite de Charlton Heston pour découvrir la vérité à la fin du film) ou moments plus intimistes, la vision pessimiste atteint son paroxysme dans la scène du centre d'euthanasie, où Sol revoit les images d'un monde verdoyant et allégorique, à jamais perdu. Prophétique.
Computer Space
Le jeu vidéo que l'on peut voir dans l'appartement de Simonson est en fait Computer Space (1971), qui fut l'un des premiers jeux vidéo à pièces, fabriqué par Nutting Associates en 1971 et conçu par Nolan Bushnell. C'est lui qui fonda plus tard Atari et conçut Pong (1972). Le jeu vidéo a été peint en blanc pour le film, mais la couleur originale était jaune, rouge ou bleu.
Soleil Vert
Dans le roman de Harry Harrisson, Soleil vert (Make room ! make room !), paru en 1966, le mot "soylent" est censé suggérer le soja et les lentilles. Pour mieux adhérer au roman original, Harry Harrison s'est présenté un jour sur le plateau et a distribué des copies du livre source à la distribution et à l'équipe. Il a également donné des indications à Edward G. Robinson sur son personnage.
L'usine de fabrication de Soylent Green du film est en fait est la raffinerie de pétrole et la centrale électrique de Chevron à El Segundo, en Californie.
Prophétique
Le détective Thorn prononce une phrase prophétique vers la fin du film : "L'océan meurt, le plancton meurt...» se révéle terriblement propéhtique en 1973. Il est scientifiquement prouvé que la civilisation humaine a réduit la masse de poissons dans l'océan de 90%, et une étude de 2010 a rapporté que le phytoplancton - l'un des deux poumons de notre planète - a décliné de plus de 40% depuis 1950 et le déclin augmente.
Poursuite silencieuse
La scène de poursuite pendant le point culminant n'a aucun dialogue parce que le scénariste, Stanley R Greenberg, ne voulait pas que cela devienne un film d'action. Une clause dans le contrat du film a déclaré qu'aucun dialogue ne pouvait être ajouté ou édité, ainsi ils ont fait toute la poursuite silencieuse, ce qui rend la scène particulièrement prenante.
Richard Fleischer est resté longtemps considéré comme un simple bon faiseur d'Hollywood. Touchant au fil de ses réalisations tous les genres avec aisance, il ne s'est jamais spécialisé dans un type de film particulier et c'est peut-être cela qui a fait son tort. Il a laissé des chefs d'œuvre au film noir dans les années 40 avec : L'énigme du Chicago Express, Les inconnus dans la ville, Les flics ne dorment pas la nuit.
Passant avec brio du film d'aventures historiques avec Les Vikings au film criminel avec L'étrangleur de Boston, côté science-fiction lui est redevable de trois œuvres essentielles : Vingt mille lieues sous les mers (1954), Le Voyage Fantastique (1966) et Soleil Vert (1973).
Il a réalisé en 1989 un film pour un procédé inventé par Douglas Trumbull, spécialiste des effets spéciaux, nommé le Showscan. Ce système permet de donner une très grande profondeur de champ au scène filmées. Son film, L'appel de l'espace, a eu une diffusion très limitée aux salles projetant ce procédé novateur.
Le tournage de Soleil Vert a été suspendu pendant une semaine lorsque le père du réalisateur Richard Fleischer, le célèbre pionnier du film d'animation Max Fleischer (Betty Boop), est décédé le 11 septembre 1972 à l'âge de 89 ans.
Edward G.Robinson incarne le vieil humaniste, ami de Thorn, dans Soleil Vert. C'est l'un de ses derniers rôles à l'écran : il nous offre l'une des séquences les plus humanistes de la science-fiction, lorsque le vieillard, au seuil de la mort, se rend dans le centre d'euthanasie où, avant de mourir d'une mort lente et douce, il contemple des images d'animaux, de paysages luxuriants. Cette vision est bouleversante de pessimisme, car proche d'un monde actuel qui lui ressemble de plus en plus!
Atteint de surdité, Edward G. Robinson ne pouvait seulement entendre les gens que s'ils parlaient directement dans son oreille durant le tournage de Soleil vert. Ses scènes de dialogue avec d'autres acteurs ont dû être filmées plusieurs fois avant d'avoir le bon rythme de dialogue et de pouvoir répondre comme s'il pouvait les entendre. Il ne pouvait pas entendre le réalisateur Richard Fleischer crier "couper" à la fin de la prise de vue et Robinson continuait souvent à jouer la scène, ignorant que le tournage s'était arrêté. L'acteur décédera à Hollywood le 26 janvier 1973, soit quelques semaines après la fin du tournage.
A ses côtés, Charlton Heston, alors acteur hollywoodien au sommet de la gloire. Incarnant quelques années auparavant l'astronaute Taylor de La planète des Singes, constamment fouetté et enchaîné et trouvant la mort dans Le secret de la planète des singes. Né en 1924, l'acteur reste de nos jours l'une des plus grandes figures de l'age d'or hollywoodien. Il débute sa carrière dans d'excellentes séries B comme Quand la Marabunta Gronde, puis dès les années 1956, s'oriente vers des superproductions où il va incarner les plus grandes figures historiques : Ben-Hur, Le Cid, Moïse, Saint-Jean Baptiste... Au début des années 70, le genre "Reconstitution monumentale" étant passée de mode, Charlton Heston se reconvertit en héros des films-catastrophes : on le retrouvait régulièrement au générique dans Alerte à la bombe, Tremblement de terre ou 747 en péril.
Par sa stature hollywoodienne, il a contribué à l'expansion de la science-fiction dans la culture cinématographique des années 70, transformant ce qui aurait pu être des séries B en film de premier plan. On le retrouve dans Soleil Vert où il interprète ce détective découvrant un horrible secret, ou dans Le survivant, tiré du roman de Richard Matheson, où il est un savant rescapé d'une guerre bactériologique se sacrifiant pour sauver l'humanité. Dans chacun de ses films de science-fiction, Charlton Heston incarne le dernier rempart séparant l'humanité de la barbarie.
© 1973 MGM & Silver Screen Collection/Getty Images - © 2011 Silver Screen Collection - Droits réservés.
Prologue du film :
"L'année: 2022. Le lieu: New York City." Population: 40 000 000 .
Né en 1925 dans le Connecticut, après avoir fait son service militaire comme artilleur pendant la Deuxième Guerre mondiale, Harry Harrison s’exerce comme illustrateur pour les comics et magazines pulps, avant de se mettre à publier ses nouvelles à partir de 1951, notamment dans la revue Astounding.
En 1960 son premier roman, Deathworld(Le monde de la mort), connaît un franc succès, avec deux suites, Appsala (1964) et Les cavaliers barbares (1968), réunis dans ce volume. Soleil Vert gagnera le prix Nebula de la meilleure oeuvre dramatique.
Parmi les autres ouvrages de Harrison traduits en français, on trouve deux tomes de sa grande série picaresque, Le rat en acier inox et Le rat en acier inox se venge, le roman Bill, le héros galactique, parodie du bon vieux space op’, avec sa suite, La planète des esclaves-robots, ainsi que les romans L’univers captif, Prométhée en orbite et Le problème de Turing (écrit avec le savant Marvin Minsky), sans oublier le recueil de ses nouvelles : Le Livre d’or de la S-F : Harry Harrison. Harry Harrison a marqué les annales de la science-fiction comme auteur mais aussi comme éditeur et anthologiste. Il fut également l’un des fondateurs de World SF, association internationale des écrivains, et il continue à jouer le rôle d’ambassadeur itinérant et infatigable en parcourant le monde pour la bonne cause.
Quelques œuvres :
1966 - Make room ! make room ! (d'où est tiré le film) a eu diverses éditions : · 1974 - PRESSES DE LA CITE, Collection Futurama 1er série,
· 1975/03 - PRESSES-POCKET, n° 1165, (Traduction)-DE MORATI E.
· 1988 - PRESSES-POCKET, Coll. Presses-pocket science-fiction, n°5295
Romans
Appsala (1964) Deathworld
Bill, le héros galactique
Le Monde de la mort(1960) Deathworld
Le Problème Turing (1992) The turing option [Auteur]-MYNSKY Marvin
Prométhée en orbite (1976) Skyfall
Rat en acier inox (le) (1961) The stainless steel rat
Rat en acier inox se venge (le) (1970) The stainless steel rat's revenge
Ratinox (1961) The stainless steel rat
Ratinox se venge (1970) The stainless steel rat's revenge
Soleil vert (1966) Make room ! make room !
Trois solutions (les) (1960) Deathworld
Univers captif (l') (1969) Captive universe
Nouvelle(s)
Assistance (1970) Commando raid
Bonne nuit les petits... (1964) I always do what Teddy says
Compagnons de chambre (1970) Roommates
Echec à la violence You men of violence
Roman(s)
L'Examen (1967) The faily civil service
La Machine à écrire toujours la vérité (1974) The wathever-I-type-is-true-machine [Auteur]-MALZBERG Barry Norman
La Mort du vieux monde (1964) How the old world died
les Mystères du métro (1964) Incident in the IND
L'Oiseau de malheur The many dooms
Planète de survivance (1961) Survival planet
Portrait de l'artiste par lui-même (1964) Portrait of the artist
L'Ultime rencontre (1964) Final encounter
Recueil de nouvelles(s)
Le Livre d'Or de HARRISON Harry (1985)
Site officiel : http://www.harryharrison.com/
Soleil Vert (Soylent Green), 1973, Richard Fleischer, Etats-Unis.
Son : Mono. Couleurs : Metrocolor. Durée : 1h37.
Format d'image : 2.35
Réalisateur : Richard Fleischer.
Scénario : Stanley R. Greenberg d'après le roman "Make Room! Make Room!" de Harry Harrison.
Assistants réalisateurs : Gene Marum (second assistant), Daniel McCauley (assistant).
Productions : MGM (Metro-Goldwyn-Mayer).
Distribution : MGM (Metro-Goldwyn-Mayer).
Producteurs : Walter Seltzer, Russell Thacher.
Effets spéciaux : Terry Ballard (département artistique), Robert R. Hoag, Augie Lohman, Matthew Yuricich.
Séquences photographiques du prologue : Magnum.
Séquences photos dans le film : Braverman Productions, Inc.
Décors : Robert R. Benton.
Directeur de la photographie : Richard H. Kline.
Montage : Samuel E. Beetley.
Directeur de production : Lloyd Anderson.
Direction artistique : Edward C. Carfagno.
Distribution des rôles : Jack Baur.
Costumes : Pat Barto.
Maquillage : Bud Westmore, Sherry Wilson.
Son : Harry W. Tetrick, harles M. Wilborn.
Musique : Fred Myrow.
Autres morceaux musicaux : Edvard Grieg ("Peer Gynt"), Pyotr Ilyich Tchaikovsky (Symphonie N°6), Ludwig van Beethoven (6ème Symphony in F, Op.68 Pastorale").
Interprètes : Charlton Heston (le Detective Thorn), Leigh Taylor-Young (Shirl), Chuck Connors (Tab Fielding), Joseph Cotten (William Simonson), Brock Peters (Lieutenant Hatcher), Paula Kelly (Martha Phillips), Edward G. Robinson (Sol Roth), Stephen Young (Gilbert), Mike Henry (Kulozik), Lincoln Kilpatrick (le père Paul), Roy Jenson (Donovan), Leonard Stone (Charles), Whit Bissell (Governor Santini)...
Date de sortie USA : 9 Mai 1973.
Date de sortie française : 26 Juin 1974.
Date de reprise française : 28 janvier 2015 - Version restaurée
Récompenses : Soleil vert a remporté le Grand Prix du Festival d'Avoriaz en 1974.
Florent Houde ****
Sur un thème très en vogue dans les années 70, Fleisher réalise un manifeste écologiste sur le danger causé par la dégradation des ressources naturelles. Situé dans la gigapole de 40 millions d'habitants toujours nommée New York, cette anticipation annonce la couleur : crise du logement où quelques privilégiés tels le détective Thorn, au visage creusé et suintant, doivent partager leur espace avec des milliers de squatters. Crise alimentaire surtout puisque la nourriture est rationnée. Le mardi c'est "soleil vert" : ersatz synthétique arborant le nom de l'astre qui accable chaque jour la population et la couleur définitivement absente du quotidien des mortels. Les émeutes sont régulières, les droits de l'homme sont bafoués, les femmes réduites au simple mobilier et les vieux mis au rebus.
Grâce à une mise en scène implacable, Fleisher installe un sentiment de malaise chez le spectateur en lui offrant un décor qui n'est finalement pas si éloigné de notre quotidien (malgré quelques aspects sérieusement datés quand même). Nous ne quitterons pas d'une semelle ce détective dont l'enquête aux relents de plus en plus nauséabonds nous mènera jusqu'au disposoir central. De belles trouvailles de réalisation comme ce générique en forme de diaporama sur l'évolution industrielle au cours du XXè siècle pour installer le contexte. Mais aussi des passages un peu lourds tel la séquence au disposoir et ses images bucoliques sur la symphonie pastorale. Fleisher est néanmoins un grand professionnel du cinéma (comme il l'a déjà prouvé avec "Les Vikings" ou "Tora, Tora, Tora!") et s'adjoint pour l'occasion le talent impérial de Charlton Heston dans le rôle de Thorn et Edward G. Robinson, méconnaissable dans un second rôle.
Avec le temps "Soleil Vert" est devenu un classique qu'on ne boudera certainement pas de sitôt.
Aneliz ****
Le film est assez bien, l'histoire est originale. Les acteurs sont bien aussi. Le film montre peut etre ce que sera la vie dans peu de temps. J'ai beaucoup aimé. Mais par contre, il m'a fallu l'aide d'Internet pour le comprendre car je l'ai vu en version originale non sous titrée. Mais cela m'a énormément plu.
*Le hors-champ est la partie de la scène qui n'apparaît pas dans un plan d'un film parce qu'elle n'est pas interceptée par le champ de l'optique de la caméra que ce champ soit invariable (plan fixe), ou variable (plan où la caméra effectue un mouvement (panoramique et/ou travelling) et/ou un zoom).
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