Manipulant et contrôlant les moindres détails de la vie de ses sujets, Big Brother est le chef spirituel d'Oceania, l'un des trois Etats dont la capitale est Londres. Le bureaucrate Winston Smith travaille dans l'un des départements. Mais un jour il tombe amoureux de Julia, ce qui est un crime. Tous les deux vont tenter de s'échapper, mais dans ce monde cauchemardesque divisé en trois, tout être qui se révolte est brisé.
POINTS POSITIFS ET NEGATIFS
+ John Hurt / Richard Burton dans la transposition cinématographique d'un classique du roman de science-fiction : le film n'a absolument pas vieilli plus de 40 ans après !
- Narration parfois confuse, difficile à appréhender si vous n'avez pas lu le roman.
Deuxième adaptation cinématographique du roman de SF éponyme de George Orwell, le 1984 signé par Michael Radford réunit deux figures du cinéma des années 80, John Hurt et Richard Burton. John Hurt (Winston Smith) dont on suit la lente déshumanisation, incarne parfaitement la fragilité, la peur et le désespoir d’un individu écrasé par un régime totalitaire. Le film se recentre sur le trio Smith/O'Brien/Julia (incarnée par Suzanne Hamilton) alors que le roman faisait aussi la part belle aux personnages secondaires. Quarante ans après sa sortie, force est de constater que le film a plutot bien vieilli. D''une part le propos critiquant les sociétés totalitaires est toujours d'actualité, la novlangue étant de plus en plus usitée de nos jours. Comme le souligne François Brune, auteur de Sous le soleil de Big Brother dans les suppléments du Blu-Ray sorti récemment, la guerre en Ukraine par exemple est insidieusement renommée "Opérations spéciales" par le Kremlin... et quiconque le remplacerait pas le mot guerre serait jugé et emprisonné !
D'autre part, le rendu d'image et une palette de couleurs très réduites sont magnifiés par le Bleach Bypass utilisée par le chef opérateur Roger Deakins, qui œuvrera sur le Blade Runner 2049 (2017) de Denis Villeneuve, une technique de réduction de la couleur qui convient parfaitement à cette univers froid, déprimant et oppressant.
Le fond sonore débitant son flot d'informations continuel sur des écrans omniprésents, couvrant par moments les dialogues, ajoute au sentiment claustrophobe qui envahit progressivement le spectateur. Tout sonne juste dans l'univers du 1984 de Michael Radford mais si vous n'avez pas lu le roman, bien des aspects de la narration vous sembleront hermétiques. Radford a mis en boîte les idées centrales du livre: la manipulation de la vérité, la suppression des libertés individuelles et la déshumanisation de la société mais n'y insuffle que peu de choses d'autre, son film reste par moment trop clinique.
Un an plus tard Terry Gilliam nous livrera un autre film au propos orwellien similaire : Brazil qui, n'étant pas une adaptation, prendra plus de liberté dans sa narration et sera une oeuvre beaucoup plus marquante.
1984 est une adaptation aliénée au roman, on gardera à l'esprit plusieurs scènes fortes comme cet interrogatoire final où O'Brien, en tortionnaire maniaque, donnera une leçon de novmathématique à Smith...
Un tournage proche du roman
Dans le générique du film, il est indiqué : "Ce film a été tourné à Londres et dans ses environs entre avril et juin 1984, à l'époque et dans le cadre exact imaginés par l'auteur."
Il y aussi une similitude temporelle : de nombreuses scènes ont été tournées aux jours mentionnés dans le journal de Winston Smith dans le roman. La scène où Smith entre dans son appartement et écrit dans son journal, datée du 4 avril 1984, a été tournée le 4 avril 1984. Le film a été tourné ainsi en avril, mai et juin 1984, 36 ans après la sortie du roman. C'est la deuxième adaptation du roman après la version 1984 (1956) de Michael Anderson, avec Edmond O'Brien et Jan Sterling.
C'est le producteur exécutif Marvin J. Rosenblum, un avocat de Chicago, qui a obtenu les droits d'adaptation cinématographique du roman auprès de la dernière épouse de George Orwell, Sonia Orwell, neuf jours avant son décès en 1980. Avec une seule condition pour elle : aucun effet spécial de science-fiction futuriste ne devra être utilisé pour raconter l'histoire car elle avait détesté la première version de 1956. Elle souhaitait avoir le contrôle artistique complet de la production, mais elle a finalement renoncé à ce droit lorsqu'elle a signé les termes et conditions du contrat.
Marvin J. Rosenblum dira par la suite que le film avait "le plus grand argument marketing qu'il y ait jamais eu pour un film : un film de 1984 réalisé en 1984."
Bleach Bypass
Au début du projet, le réalisateur Michael Radford et le directeur de la photographie Roger Deakins voulaient tourner ce film en noir et blanc, mais la société de production Virgin Films s'opposa farouchement à cette idée. Pour contourner ce choix initial, Deakins utilisa une technique de traitement de film appelée traitement sans blanchiment (bleach bypass) durant le développement d'un positif couleur. En faisant cela, l'argent présent dans la pellicule, ici un 35mm argentique, sous sa forme métallique est retenu dans l'image. Cela donne visuellement une image en noir et blanc par-dessus une image en couleur. La saturation est diminuée, en particulier dans les basses lumières, alors que le contraste est augmenté. L'effet de granulation est plus important et l'image a un aspect métallique, afin de donner un aspect délavé distinctif des visuels en couleur du film. 1984 est un rare film utilisant cette technique. Elle fut réutilisée par le chef opérateur Darius Khondji dans un autre film de SF : Delicatessen (1990) de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro, faisant du "blanchissement contrôlé ou partiel" une des techniques esthétiques cinématographiques des années 1990. Se7en (1995) réalisé par David Fincher, en sera peut-être le plus bel exemple.
Richard Burton
L'acteur Richard Burton était malade durant la majeure partie du tournage et avait beaucoup de mal à se souvenir de son texte. Il souffrait d'une cirrhose et d'une affection rénale dus à des abus d'alcool et de tabac. L'acteur avait rejoint la production six semaines après le début du tournage et a tourné toutes ses scènes sur une période de trois semaines, entièrement en mai 1984. Le réalisateur devait parfois filmer une scène des dizaines de fois avant de parvenir à obtenir une bonne prise : lors de la scène dans l'appartement d'O'Brien où il parle à Winston du livre de Goldstein, cette scène a nécessité quarante et une prises pour que Burton puisse prononcer la totalité de son texte sans difficulté.
Les producteurs étaient à l'origine opposés au choix de Richard Burton pour incarner O'Brien, car il n'avait pas tourné depuis cinq ans et qu'il n'était plus considéré comme attractif du point de vue du box-office. Ses deux derniers films, Lovespell (1981) de Tom Donovan et Les âges du cœur (1981) de Jules Dassin avaient été tournés en 1979 et n'avaient pas convaincu les critiques, notamment sur la prestation de l'acteur. D'autres acteurs avaient été pressentis comme Paul Scofield, Rod Steiger, Sean Connery ou Anthony Hopkins...
1984 fut son dernier film avant sa mort le 5 août 1984, à l'âge de cinquante-huit ans, deux mois avant la sortie du film. Dans le générique du film, un hommage lui est rendu : "With love and admiration Richard Burton 1925 - 1984".
Lieux de tournage
Tout le tournage du film s'est déroulé en Grande-Bretagne. Les premières scènes du film montrant la foule devant l'écran diffusant les informations de l'ANGSOC ont été tournées dans un hangar de la RAF Hullavington près de Chippenham dans le Wiltshire près de Brostol. D'autres scènes de Victory Square ont également été tournées à Alexandra Palace à Londres qui était le centre principal de la transmission télé anglaise jusqu'en 1956 et qui avait été incendié en 1980. Le ministère de la Vérité est situé au Sénat de l'Université de Londres, un grand bâtiment moderne de style art déco.
La pochette de l'album Animals de Pink Floyd et Ll'Alexandra Palace à Londres (image tirée du film)
La façade de Victory Mansion est en fait la centrale électrique désaffectée de Battersea à Wandsworth près de Londres, popularisée par la pochette de l'album de Pink Floyd, Animals (1977), qui est lui aussi fortement inspiré par un autre grand livre d'Orwell, La Ferme des animaux.
Les scènes dans les zones prolétariennes ont été tournées dans les usines de gaz de Beckton dans les Docklands de Newham. La scène avec la prostituée, une scène de pub ont été filmées à Cheshire Street, dans l'East End de Londres. Les intérieurs de la cantine ont été filmés dans un moulin à grains désaffecté de Silvertown de Londres, le Millenium Mills. Les scènes de train ont été tournées sur le chemin de fer touristique du Kent et de l'Est Sussex.
Conflit de Bande Originale
La société de production Virgin Films finançant le film et, appartenant à Richard Branson, souhaitait qu'un groupe pop commercialement viable compose la musique du film afin d'augmenter son impact commercial par l'achat de produits dérivés. On sait finalement que c'est le groupe Eurythmics qui réalisera le titre phare du film mais à l'origine, les producteurs avaient contacté David Bowie, qui s'était inspiré du roman de George Orwell pour certaines chansons de son album Diamond Dogs (1974). Le cachet qu'il demandait était trop élevé pour les producteurs qui ont choisi Eurythmics qui, après avoir dans un premier temps refusé l'offre, l'ont finalement acceptée.
Parallèlement le réalisateur Michael Radford avait déjà engagé Dominic Muldowney pour composer l'intégralité de la bande originale.
Les producteurs de Virgin Films ont exercé son droit de veto final lors du montage et ont remplacé la majeure partie de la bande originale de Muldowney par celle d'Eurythmics, à l'exception de l'hymne national, Oceania, "Tis for Thee" de Muldowney.
Michael Radford n'a pas été satisfait de ces modifications et a riposté en retirant ce film de la compétition pour le BAFTA du meilleur film. Plus encore, lorsque le film a remporté le prix du meilleur film de l'année décerné par le journal londonien Evening Standard, Radford a dans son discours de remerciement, alors que la cérémonie était télévisée sur une chaine nationale nationale, dénoncé l'implication du groupe Eurythmics. Eurythmics a ensuite publié une déclaration indiquant qu'ils n'étaient pas au courant du différend et n'auraient pas accepté la commande s'ils avaient su qu'elle avait été faite contre le consentement du réalisateur.
La bande originale d'Eurythmics est sortie en album "1984 (For the Love of Big Brother)" en 1984 ; la partition complète de Muldowney a finalement été publiée sous la forme d'un CD en édition limitée "Nineteen Eighty-Four: The Music of Oceania" en 1999, pour commémorer le 15e anniversaire de ce film. La sortie du film en DVD en 2003 comprenait la partition de Muldowney, mais cette version a rapidement été épuisée. La nouvelle sortie Blu-Ray chez Rimini Editions en Décembre 2024 dans la version Ultra-HD du film, propose les deux bandes sons. Toutes les versions de ce film créditent désormais conjointement Eurythmics et Muldowney dans les génériques d'ouverture et de fin.
La police de la pensée
La police de la pensée du roman et du film est inspirée du NKVD (Commissariat du peuple aux affaires intérieures), une force de police secrète soviétique qui a opéré de 1934 à 1946 et qui arrêtait des personnes pour des propos antisoviétiques.
Les aveux des "criminels de pensée" Rutherford (incarné par Peter Frye), Aaronson (Joscik Barbarossa) et Jones (Anthony Benson), étaient basés sur les procès soviétiques tournés en spectacle dans les années 1930, avec des aveux scénarisés .
Les informations diffusées sur les télécrans mettent l'accent sur l'évolution positive des chiffres de production, tout comme en Union soviétique : les records de production battus dans les usines ou l'augmentation des les productions céréalières étaient particulièrement glorifiés.
Voici les trois scènes clés marquantes du film 1984 de Michael Radford (à lire après avoir vu le film) illustrant la dystopie totalitaire d'Océania avec leur minutage approximatif. Ces scènes illustrent les thèmes centraux du film, tels que la manipulation psychologique, la répression de l'individualité et la lutte pour la liberté dans un régime totalitaire. Voici trois scènes clés, avec leur minutage approximatif et des sources pour approfondir :
La séance de la Haine de la foule devant l'écran (environ à la ⌚ 10ème minute) : Winston Smith et les travailleurs, membres du Parti Intérieur, participent à une séance de propagande intense appelée la "Haîne de Deux Minutes", où ils expriment leur colère contre l'ennemi de l'État, Emmanuel Goldstein. La manipulation des émotions (la peur et la haine) par le Parti pour maintenir son contrôle sur la population.
© Tous droits réservés.
Le film commence par le message suivant:
« Qui contrôle le passé contrôle le futur. Qui contrôle le présent contrôle le passé. »
Un des rédacteur du dictionnaire de la NovLangue s'adressant à Smith à la cantine :
"C'est dans les adjectifs qu'il y a le plus de déchets... C'est une belle chose la destruction de mots. Vous n'avez pas encore vu la 10ème édition du dictionnaire, Smith ? Il est épais comme ça et la 11ème édition sera comme ça." (en montrant avec ses doigts qu'elle sera deux fois moins épaisse).
Smith lisant le livre de Goldstein "Théorie et pratique du collectivisme oligarchique" à Julia :
"Toute société hiérarchisée ne peut exister que fondée sur la pauvreté et l'ignorance. En principe, l'effort de guerre vise à maintenir la société au bord de la famine. La guerre est faite par le groupe de dirigeant contre ses propres sujets. ET elle n'a pas pour but la victoire sur l'Eurasia ou l'Estasia, mais le maintien même de la société."
1984 (Id.), Michael Radford, 1984, Royaume-Uni / Allemagne de l'Ouest / Pays-Bas.
Autres titres : Premonición 1984 (Argentine), Orwell 1984 (Italie, Finlande), Rok 1984 (Pologne).
Son : Mono. Format d'image : 1.85.
Réalisateur : Michael Radford. Durée : 1h53.
Productions : Virgin, Umbrella-Rosenblum Films Production, Virgin Benelux, Virgin Schallplatten.
Distribution : 20th Century Fox.
Producteur : Simon Perry.
Producteur exécutif : Marvin J. Rosenblum.
Co-producteurs : Al Clark, Robert Devereux.
Producteur associé : John Davis, Richard Branson (non-crédité au générique)
Scénario : Michael Radford d'après le roman de George Orwell.
Effets spéciaux :
Directeur de la photographie : Roger Deakins.
Montage : Tom Priestley.
Chef décorateur : Allan Cameron.
Direction artistique : Martyn Hebert, Grant Hicks.
Décorateur plateau : NC.
Musique : Eurythmics, Dominic Muldowney.
Costumes : Emma Porteous.
Maquillages : Mary Hillman (superviseur).
Casting : Rebecca Howard.
Interprètes : John Hurt (Winston Smith), Richard Burton (O'Brien), Suzanne Hamilton (Julia), Cyril Cusack (Charrington), Gregor Fisher (Parsons), James Walker (Symé=, Andrew Wilde (Tillotson), David Trevena (L'ami de Tillotson), David Cann (Martin), Anthony Benson (Jones), Peter Frye (Rutherford), Paquet Roger Lloyd (Serveur), Rupert Baderman (Winston Smith enfant), Corinna Seddon (La mère de Winston), Martha Parsey (La sœur de Winston), Merelina Kendall (Mme Parsons), PJ Nicolas (William Parsons), Lynne Radford (Susan Parsons), Pip Donaghy (Orateur du Parti intérieur), Shirley Stelfox (La prostituée), Janet Key (L'instructrice)...
Date de sortie française : 14 novembre 1984.
Date de sortie Royaume-Uni : 10 0ctobre 1984.
Date de l'édition Blu-Ray/DVD Artus Films :
Budget estimé : 3M £GB (estimation).
Recettes mondiales : 8,4 M$.
Nombre d'entrées en France : 757 312.
Rimini Editions propose une édition avec un nouveau master 4K restauré du film dans un boîtier avec étui. combo Ultra HD, Blu-Ray accompagnés d'un livret.
Cette édition restitue parfaitement le grain -ici nécessaire- et la pâleur de la palette restreinte de couleurs de la pellicule argentique originelle.
Détails de l'édition :
- le 4K Ultra HD du film (Dolby Vision et HDR10), sans suppléments.
Le film est proposé sur l'Ultra HD avec 3 bandes sonores en 2.0, en Version française et en Version Originale : avec la musique de Eurythmics ou avec la musique de Dominic Muldowney.
- le Blu-ray du film
- le livret « George Orwell et 1984 » avec 6 articles, archives du hors-série « Le Point - Grandes biographies - George Orwell » (nov-déc. 2022, 40 pages) : Un écrivain politique par Laurence Moreau, Un panthéon éclectique par Laurence Moreau, "1984" et L'Anti-Utopie de Michel Porret, Faut-il opposer Orwell à Huxley ? par Romain Brethes, Les tribulations de la novlangue par Marie Frisson et Entretien avec David Ryan, propos recueillis par Florence Colombani.
Suppléments du Blu-Ray (plus de 1h30 de bonus) :
- Michael Radford raconte 1984 (35’06") : une interview inédite enregistrée à Londres en 2022
- Retour en 1984 (24’O1") : le documentaire de Alexandre Jousse avec les interventions de Caroline Vié, journaliste à 20 minutes et qui avait été envoyée spéciale sur le tournage du film pour L'Ecran Fantastique, et Laurent Aknin, auteur de nombtreux livres sur le 7ème art comme «Esotérisme et cinéma», "Les classiques du cinéma Bis" et "Mythologies et idéologie du cinéma américain". Les deux auteurs livrent des secrets du tournage du film.
- Réflexions autour de 1984 (37'34"), interview de François Brune, auteur de Sous le soleil de Big Brother (Précis sur "1984" à l'usage des années 2000) qui revient sur l'oeuvre de George Orwell. Une lecture commentée passionnante permet d'aller au plus profond de l'oeuvre, entrecoupée d'extraits du film. Sont particulièrement bien expliqués les mécaniques d'emprises de la population par des sociétés totalitaires, tels qu'elles sont décrites dans le roman et dans le film.
A noter qu'une édition DVD est aussi disponible.
Date de sortie : 18 Décembre 2024.
*Le hors-champ est la partie de la scène qui n'apparaît pas dans un plan d'un film parce qu'elle n'est pas interceptée par le champ de l'optique de la caméra que ce champ soit invariable (plan fixe), ou variable (plan où la caméra effectue un mouvement (panoramique et/ou travelling) et/ou un zoom).
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